L’empreinte écologique des fleurs et plantes stabilisées.

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Les fleurs fraîches, c’est beau, c’est pur, c’est naturel… Ce plaisir éphémère n’est cependant pas sans conséquences pour l’environnement. Entre la production, le transport et les pertes bien trop nombreuses, les fleurs fraîches tombent en disgrâce des plus écolos d’entre nous. Les fleurs stabilisées sont choisies comme alternative pour des raisons écologiques et économiques. Pour en savoir plus sur l’empreinte écologique des fleurs et plantes stabilisées, continuez la lecture.

La production des fleurs et plantes stabilisées.

La production des fleurs coupées nécessite l’usage de pesticides, d’engrais et d’eau. Elle peut nécessiter l’utilisation d’un système de climatisation (chaud ou froid) ou de lumière artificielle. Et ce, toute l’année. Dans le cas d’une fleur stabilisée, la fleur d’origine doit être la plus propre et fraîche possible. Autrement, le processus de stabilisation fonctionne très mal. Il respecte aussi le cycle de la fleur et n’est pas produit à outrance toute l’année. En effet, la saisonnalité des fleurs fraîches n’est pas respectée en vente. Prenons l’exemple de la rose qui est très appréciée à la Saint-Valentin notamment. La saison de la rose est en été alors qu’elle est le plus vendue en hiver.

C’est pour cette raison que l’empreinte écologique des fleurs stabilisées est très basse par rapport aux fleurs fraîchement coupées. Pour en savoir plus, consultez l’article sur la production des fleurs stabilisées.

Le transport des végétaux frais et stabilisés.

La plupart des fleurs fraîches vendues en Occident sont importées d’autres continents. Dès qu’elles sont coupées, un compte à rebours vers leur fin de vie est lancé. Ces fleurs doivent parcourir des milliers de kilomètres par avion d’un continent à un autre avant d’être acheminées par camion réfrigéré jusqu’à un grossiste puis stockées chez un fleuriste en chambre froide. Tout ceci génère des émissions de gaz à effet de serre. Les fleurs stabilisées peuvent être transportées par bateau, sans urgence ni conditions particulières. De plus, il y a peu d’intermédiaires : Secondflor achète directement aux producteurs la majorité de ses végétaux stabilisés, ce qui veut dire moins de transport au global. Pour en savoir plus, consultez l’article sur le transport des fleurs et plantes stabilisées.

Le gaspillage des fleurs fraîches et stabilisées.

Le gaspillage est bien plus faible avec les fleurs stabilisées qu’avec les fleurs coupées. En effet, les végétaux stabilisés sont non périssables. Les seules pertes sont à déplorer lors de la récolte et du processus de stabilisation. Cela représente un nombre très faible, 1 fleur sur 10 est perdue à cette étape. Les fleurs fraîchement coupées, elles, sont énormément gaspillées durant les étapes de production, récolte, transport et invendus. Il est estimé que seules 4 fleurs fraîches sur 10 sont vendues au consommateur final. Pour en savoir plus, consultez l’article sur le gaspillage des fleurs.

L’empreinte écologique des fleurs stabilisées.

Enfin, grâce à son usage, la fleur stabilisée est un produit naturel et durable. Même si son usage est soumis à des conditions d’utilisation bien spécifiques, on peut profiter d’une fleur stabilisée au moins 50 fois plus longtemps qu’une fleur coupée. Pour toutes ces raisons, on peut facilement conclure que la fleur stabilisée présente une empreinte écologique meilleure que celle de la fleur coupée d’importation. 

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